La Scion FR-S est l'une des deux versions de la Toyota 86 importés pour le marché nord-américain. L'autre est la Subaru BRZ. La Scion est un modèle de l'année 2013. Les premiers modèles comprennent un choix d'une boîte manuelle de 6 rapports ou d'une boîte automatique de 5 rapports avec les palettes au volant3. La Scion FR-S est évaluée avec 200 ch (149 kW) à 7 000 tr/min et 205 N·m à 6600 tr/min. La première édition spéciale est prévue pour l'année 2014 et sera appelée Série 10. Le modèle dispose d'une peinture personnalisée de couleur argent, et certaines fonctions de sa jumelle, la BRZ4
La Toyota GT86 est un coupé sportif produit par Toyota à partir de 2012. Elle est construite en collaboration avec Subaru, chez qui ce modèle se nomme BRZ. Ce coupé, dont le nom est un hommage à la Toyota Sprinter Trueno, dite AE86, est issue du concept-carFT-86. Elle se nomme Toyota 86 au Japon et en Australie et est vendue également sous le nom de Scion FR-S pour le marché nord-américain.
Bien que très proche techniquement de la Subaru BRZ, de légères différences sont à noter. L'épure de suspension est différente, tout comme le tarage des ressorts1. Ces derniers sont moins durs que ceux de la BRZ, avec 23 N/mm pour la Toyota contre 25 pour la Subaru1. Également, les plaquettes de freins sont plus résistantes et endurantes1. La Toyota GT86 fait partie des rares sportives à être encore équipée d'un moteur atmosphérique, cela afin de conserver la sportivité à savoir sonorité échappement et moteur haut des les tours, ce que recherche les puristes à l'heure où beaucoup de constructeurs se mettent au downsizing et suralimentent leurs moteurs par l'ajout de turbo ou compresseur.
On peut voir la compacité du bloc, situé en port-à-faux avant
On retrouve ici les gènes de Subaru, avec un quatre cylindres à plat opposés de 1 998 cm3. Ce moteur atmosphérique délivre son couple maximum, soit 205Nm, de 6400 à 6600 tr/min et ses 200ch à 7000 tr/min. Ces régimes élevés dénotent le caractère pointu du moteur, délivrant ainsi 100ch au litre. Cependant, ce boxer est assez creux, ce qui, malgré le poids contenu de la nippone, se ressent en conduite sportive2. Cependant 95% de la valeur maximale du couple est disponible à 2800tr/min, par contre le creux se fait percevoir à mi régime entre 3200 et 4800 tr/min. Une reprogrammation de la cartographie permet selon les dire de relisser la courbe afin de combler ce trou à mi régime.
La boite de vitesses à 6 rapports dispose d'une commande réussie2, bien que les deux premiers rapports soient trop courts et que le dernier soit, quant-à-lui, un peu long2 afin de diminuer la consommation de carburant sur autoroute.
Le châssis est de très bonne facture, voire même exemplaire2. En effet, tout a été fait lors de la conception de la GT86 afin de réduire la hauteur du centre de gravité, qui se retrouve ainsi à seulement 46 cm du sol. Le gros défaut de cette voiture se situe au niveau du freinage, relativement mauvais, que ce soit en termes d'endurance ou de distance d'arrêt. Pour comparaison, cette dernière passe de200 km/h à l'arrêt en 178 m, tandis que son principal concurrent sur le sol français, la Peugeot RCZ, en réclame seulement 1462. L'autre cause de ces contre-performances est l'adoption de pneus Michelin Primacy HP en 215/45-17, soit la monte d'une Prius, à la faible adhérence longitudinale. Cependant, avec 0,91G d'accélération transversale maximale, ce coupé est capable de soutenir la comparaison avec ses principales opposantes sur circuit. Ce choix a été dicté par les ingénieurs Toyota afin de rendre son comportement joueur et prévenant grâce à des gommes peu adhérentes.
Conscient de la segmentation importante du marché des SUV, Land Rover décide de proposer une alternative haut de gamme au Freelander 2
Reprenant les lignes du concept LRX présenté au Salon de Detroit en 2008, la Range Rover Evoque est proposée en trois et cinq portes. Elle se distingue de la gamme Land Rover par un style plus dynamique et un positionnement « premium » marqué par son appartenance à la gamme Range Rover.
Avec ce nouveau véhicule, Land Rover entend conquérir de nouvelles parts de marché en ciblant une clientèle alors réfractaire à la marque. Visant directement la BMW X1 ou plus récemment l'Audi Q3, la Range Rover Evoque est disponible depuis septembre 2011 en deux ou quatre roues motrices avec au choix deux motorisations diesel de 150 et 190 ch, et une motorisation essence de 240 ch.
Le diesel d'entrée de gamme, uniquement disponible en deux roues motrices, affiche 150 ch pour 380 Nm de couple. Côté performances, la Range Rover Evoque eD4 passe de 0 à 100 km/h en 11,2 s et atteint 180 km/h en vitesse de pointe. La consommation annoncée est de 6 L/100km en cycle urbain, 4,5 L/100km en cycle extra urbain et 5 L/100km en cycle mixte pour des rejets de CO2 atteignant 129 g/km.
Avec 20 Nm de plus, la variante quatre roues motrices de l'Evoque eD4 passe de 0 à 100 km/h en 10,8 s et atteint 185 km/h. Transmission oblige, la consommation annoncée augmente de 0,7 L/100km par rapport à la version eD4, les rejets de CO2 s'établissant à 149 g/km.
Le diesel le plus puissant de la gamme offre 190 ch et 420 Nm de couple. Les 100 km/h sont atteints en 10 s tandis que la vitesse de pointe flirte avec les 200 km/h. La Range Rover Evoque SD4 affiche des consommations et des rejets de CO2 strictement identiques à la version TD4.
La version sportive de la gamme est mue par un quatre cylindres turbo essence 2 litres de 240 ch et 340 Nm, venant de la Ford Mondeo écoboost. Ainsi dotée, la Range Rover Evoque Si4 franchit la barre des 100 km/h en 7,6 s et atteint 217 km/h en vitesse de pointe. La consommation mixte annoncée s’établit à 8,7 L/100km pour 199g/km de CO2 rejetés.
Le Volkswagen Touareg est un véhiculeautomobile4x4 de luxe duconstructeurallemandVolkswagen. Il a été construit en coopération avecPorsche dont le modèle Cayenne partage la plateforme1 même s'il existe de nombreuses différences de style, d'équipement et de technologie. Ce 4x4 est un SUV de luxe, qui n'a rien à envier en confort et en équipement à une berline de luxe, telles les Audi A8, Volkswagen Phaeton ou encore BMW Série 7. Le Touareg est le premier modèle de 4x4 luxe produit par le groupe VAG. Il est sorti en 2002. En mars 2007, il reçoit un restylage (assez léger : optiques, bas de carrosserie et quelques éléments intérieurs). Il porte le nom d'un peuple deBerbères nomades vivant dans le Sahara central (cf: Touareg). Il est fabriqué en Slovaquie sur les lignes d'asseblages de l'Audi Q7, Porsche Cayenne.
La version Edition W12 Sport Edition TIP (pour Tiptronic) qui comporte 450 ch, pour une vitesse maximum de 250 km/h, bridée électroniquement, en fait un des véhicule 4x4 tout terrain de série les plus rapides et les plus puissants du marché.
Selon la version, la consommation mixte varie de 9,8 L au 100 km3 à 15,9 L au100 km4.
Un nouveau modèle dénommé Tiguan, plus compact, moins cher et moins gourmand en carburant que le Touareg, est apparue courant 2008. Tout comme son grand frère, celui-ci connaît un démarrage des ventes réussi.
Cette 7e génération de Golf a été lancée en France le samedi 10 novembre 2012. Elle a obtenu 5 étoiles lors du crash test Euro-NCAP, ainsi que 4 Advanced Awards : les systèmes Lane Assist et Front Assist, le système proactif de protection des passagers et le dispositif de freinage multicollision ont été reconnus comme des innovations majeures dans le domaine de la sécurité3.
Cette nouvelle Golf est, après l'Audi A3, le deuxième modèle bénéficiant des nouvelles plateformes modulaires de Volkswagen. 4 Le frein à main de la Golf VII est remplacée par un bouton.
La Volkswagen Golf 7 a été élue Voiture de l'Année 20135 par le comité "Car Of The Year" à l’occasion de l’ouverture du Salon de Genève 2013.
Volkswagen Golf VII GTI, Mondial de l'Automobile de Paris 2012
Grand classique de la marque, le coupé BMW prend ses distances avec la Série 3 dont il est issu.
Nous voilà prévenus. La marque munichoise s'est mise en tête de combler tous les trous pouvant subsister dans sa numérotation. Les coupés adoptent ainsi leur propre désignation à chiffres pairs pour mieux se distinguer des berlines dont ils dérivent. Une première. En attendant la Série 2 issue de la Série 1 commercialisée au début de l'année prochaine, BMW recourt à la Série 4 pour désigner la variante coupé de la Série 3. A partir du 3 octobre dans les concessions, ce coupé ne se contente pas de coiffer une plateforme de berline d'une silhouette élégante de pseudo-sportive. Il s'impose comme un modèle à part entière dans la gamme munichoise.
Les prémices d'une offre complète
Dans une catégorie où les critères esthétiques guident, en grande partie, la décision d'achat, les designers ont affûté leurs crayons pour livrer des formes élancées et harmonieuses qui respectent les codes immuables du design de la marque, à savoir les porte-à-faux réduits et le long capot. Garée à côté d'un coupé Série 3, la Série 4 paraît appartenir à une autre catégorie. Sous certains angles, elle semble même directement inspirée de la Série 6 GranCoupé. Le mérite en revient à des lignes toutes en tension, un essieu arrière élargi de 80 mm et un pavillon fuyant abaissé de 16 mm mais de 70 mm par rapport à la berline. Face à sa devancière, l'allongement de 26 mm et l'élargissement de 43 mm finissent de camper le décor d'une ligne qui affiche une sacrée présence sur la route. Comme la Série 6, la Série 4 aura droit à sa version cabriolet mais toujours à toit rigide et à une déclinaison GranCoupé.
Malgré un gabarit plus généreux, le coupé a perdu jusqu'à 45 kg selon les versions. Toujours au profit du dynamisme, la Série 4 bénéficie d'une répartition idéale des masses (50/50) et d'un centre de gravité situé à 498 mm du sol, le plus bas de toute la gamme.
Un habitacle de berline
La différenciation a ses limites et économie d'échelle oblige, la Série 4 hérite de l'univers intérieur de la sixième génération de la Série 3. Il n'y a pas lieu de s'en plaindre tant il répond aux standards du premium en termes de présentation et d'équipements. Le tableau de bord très travaillé est toujours orienté vers le conducteur et les cinq finitions (Lounge, Modern, Sport, Luxury et M Sport) font varier l'ambiance en jouant sur les couleurs et les matériaux. Notre véhicule d'essai était équipé de l'affichage tête haute couleur qui participe au confort de conduite en projetant sur le pare-brise la limitation de vitesse sur le tronçon utilisé, les indications du GPS de navigation et l'allure à laquelle vous roulez.
Autre plus, le nouveau bouton rotatif iDrive voit son diamètre augmenter. Cela simplifie l'entrée d'une destination dans le système de navigation puisqu'au lieu de tourner la commande pour sélectionner chaque lettre, on peut désormais les dessiner avec le doigt. Calqué sur la Série 3, l'empattement de 2,81 m contribue à améliorer le volume du coffre de 15 litres et l'espace aux jambes offerts aux deux passagers arrière. Ces places sont néanmoins destinées à des personnes ne dépassant pas 1,82 m en raison de la garde au toit limitée. Autre regret: les vitres arrière sont encore fixes.
Le diesel en champion de la puissance
Au risque de froisser les fidèles de la première heure, la Série 4 cède à l'air du temps en ne proposant plus qu'un seul six cylindres en ligne essence: le mélodieux 3 litres turbo de 306 ch. Reste qu'à partir de novembre, ce moteur sera détrôné en puissance par le six cylindres turbo diesel 435d (313 ch). Mais l'honneur est sauf puisqu'un kit M Performance porte le 3 litres essence à 340 ch et 450 Nm de couple. Les 4-cylindres devraient cependant attirer l'essentiel de la clientèle: 428i (245 ch), 420d et 420i (184 ch). Pour le sport, il faudra attendre 2014 et la M4 qui abandonne le V8 au profit d'un 6-cylindres turbocompressé.
Notre avis
La Série 4 multiplie les signes de prévenance. A la fermeture de la porte, un guide amène la ceinture à votre hauteur tandis que l'amplitude de réglages du siège et du volant participe à trouver la position de conduite idéale. Télécommande dans la poche, une pression sur le bouton poussoir suffit à animer le fameux 6-cylindres 3 litres. Alors que sa sonorité est plus étouffée qu'avant, ce moteur continue de distiller du plaisir avec une souplesse d'utilisation et une allonge incroyables. Ca pousse fort (0 à 100 km/h en 5,1 s) mais la linéarité du moteur autant que la transmission automatique à 8 rapports (2 400 €) gomment les sensations. La boîte manuelle devrait y remédier en renouant avec les joies d'une conduite à l'ancienne mais étonnamment au détriment de la consommation (+ 0,7 l/100 km, + 16 g de CO2). Voulue plus dynamique par conception que la Série 3, la 435i adopte un châssis surbaissé de 10 mm, des liaisons au sol revues et corrigées et une suspension adaptative à amortisseurs pilotés en option. Celle-ci gagne en confort ce qu'elle perd en contrôle de caisse. Plus besoin de mode d'emploi pour conduire cette propulsion qui se comporte comme une traction. Les intégristes le regretteront mais ce coupé colle à l'air du temps en avouant, à travers des gènes bourgeois, un comportement plus aseptisé.
Variant suivant les versions, l'écart de prix avec la Série 3 atteint 4 150 € dans le cas de la 435i finition Sport. En intégrant les équipements, il se limite à 1 300 €, ce qui devrait encourager une frange de la clientèle à se convertir à ce genre qui constitue l'archétype du véhicule passion.
Fiche technique BMW 435i BVA
Moteur: 6 cylindres en ligne turbo, 2 993 cc, 306 ch, 400 Nm.